Après être ressortis de notre balade de la capitale en mode "taupe", nous allons nous évader par les airs et visiter Paris en pleine effervescence et à vélo en plein confinement.
Aujourd'hui : Paris vu du ciel
Un documentaire filmé par Sylvain Augier !
Une expérience où tout devient possible : approcher les tours de Notre-Dame (avant son incendie) et le sommet de la Tour Eiffel, planer au-dessus de la Seine et des bateaux-mouches, découvrir des jardins et terrasses suspendus dans le ciel et des trésors d'architecture perchés si haut que seuls les oiseaux les connaissent !
Paris vidé de ses habitants à vélo.
L'épidémie de coronavirus et le confinement imposé aux Français le 16 mars a transformé le visage de la capitale.
À Paris, des artères d'ordinaire bondées transpirent désormais le vide et laissent entendre le piaillement des oiseaux. Du XIXe arrondissement au XVIe, en passant par le Louvre ou la Tour Eiffel, nous avons traversé une ville méconnaissable.
Le nouveau visage des rues de Paris
"Fluctuat nec mergitur"
La devise signifie « Il est battu par les flots, mais ne sombre pas ». On trouve aussi parfois cette devise traduite avec le verbe « fluctuo » rendu par « flotter », mais cette traduction est critiquée pour son manque de sens.
La devise de Paris "Fluctuat nec mergitur" accompagne le navire représenté sur le blason de Paris, symbole de la puissante corporation des nautes de Lutèce. Elle rappelle « les dangers que Paris a courus, les terribles révolutions qui l'ont agité, les crises de toute nature qu'il a subies » et exprime « l'idée de vitalité, de force, de perpétuité qui caractérise la longue et glorieuse existence de cette ville ».
Elle apparaît sur des jetons dès la fin du XVIe siècle, mais n'est pour la ville, jusqu'à la Révolution, qu'une devise parmi d'autres8. Elle est rendue officielle par un arrêté du 24 novembre 1853 du baron Haussmann, alors préfet de la Seine